Visualisations : Affaires sociales et communautaires

Available in English.

Éléments visuels par type:

Infographies

Offre et demande de logements

Cette figure illustre l’incidence des propositions qui font augmenter l’offre et la demande de logements en comparant les points d’équilibre des prix et des quantités avant et après la mise en œuvre des propositions. La représentation graphique de l’offre de logements est une courbe ascendante où l’axe vertical est le prix et l’axe horizontal la quantité, ce qui illustre la corrélation positive entre le prix et la quantité offerte. La représentation graphique de la demande de logements est une courbe descendante qui illustre la corrélation négative entre le prix et la quantité demandée. Le point d’équilibre entre le prix et la quantité correspond à l’intersection entre les courbes de l’offre et de la demande, c.-à-d. le prix et la quantité auxquels la quantité offerte et la quantité demandée sont à égalité. La figure montre qu’une variation vers la droite de l’offre réduit le prix d’une maison de 50 000 $, passant donc de 500 000 $ à 450 000 $, et qu’il augmente la quantité de maisons de 1 000, soit de 10 000 à 11 000 maisons. Une variation vers la droite de la demande augmente le prix d’une maison de 50 000 $, passant donc de 500 000 $ à 550 000 $, et il augmente la quantité de maisons de 1 000, soit de 10 000 à 11 000 maisons. La figure présente aussi les principaux facteurs de l’offre et de la demande de logements entre l’illustration d’un acheteur éventuel et d’une maison. Ces facteurs sont les coûts des terrains et de la construction, des contraintes géographiques comme les océans et les montagnes, et les restrictions municipales relatives à l’aménagement du territoire. Pour ce qui est de la demande, les principaux facteurs sont la capacité d’emprunt des acheteurs, le revenu des acheteurs, l’emploi, la croissance de la population et les mesures fiscales qui améliorent le rendement après impôt de la propriété comparativement à d’autres investissements.

Lisez la Note de la Colline : Le logement abordable sous l’angle de l’offre et de la demande (2022)

 

Les menstruations et les coûts qui y sont associés au Canada

Ce graphique illustre les répercussions des menstruations sur les personnes ayant des menstruations dans la population canadienne. Les menstruations font partie intégrante de la vie de millions de Canadiens et Canadiennes; elles apparaissant généralement entre l’âge de dix et quatorze ans et se terminent à la ménopause, vers l’âge de cinquante ans. Dans leur vie, ces personnes auront été menstruées pendant six ans en moyenne. Elles utilisent une médiane de treize produits menstruels par cycle, soit cent soixante-neuf produits menstruels jetables par année. Les Canadiens et Canadiennes dépenseront jusqu’à six mille dollars en produits menstruels au cours de leurs vies. Celles qui vivent dans les régions éloignées et du Nord peuvent s’attendre à payer ces produits deux fois plus cher qu’ailleurs au Canada. Les produits réutilisables, comme les coupes menstruelles, coûtent moins cher que les produits jetables, compte tenu de leur durée de vie, et produisent moins de déchets.

Lisez la Note de la Colline : Améliorer l’accès aux produits menstruels au Canada (2021)

 

Les femmes au Parlement : Faits saillants sélectionnés sur 100 ans

Cette infographie illustre quelques faits saillants concernant les femmes au Parlement du Canada au cours des 100 dernières années. Au nombre de ces faits saillants, mentionnons l’élection de la première femme à la Chambre des communes, Agnes Campbell Macphail, en 1921. D’autres faits saillants concernent des femmes aux identités diverses au Parlement, notamment la nomination de la première personne noire, l’honorable Anne C. Cools, au Sénat en 1984. L’infographie illustre également les proportions à la hausse de la représentation des femmes dans les deux Chambres au fil du temps. La représentation des femmes a atteint 5 % au Sénat en 1953, alors qu’une proportion semblable a été atteinte à la Chambre des communes en 1980. En 2021, la représentation des femmes au Parlement a atteint 49 % au Sénat et 30 % à la Chambre des communes.

Lisez la Note de la Colline : Les femmes au Parlement du Canada : 100 ans de représentation (2021)

 

Répercussions de la pandémie de COVID-19 sur les femmes

Dans la figure 1, les répercussions de la pandémie de COVID-19 sur les femmes sont examinées sous trois angles différents : l’augmentation du travail de prestation de soins non rémunéré, une responsabilité qui incombe de manière disproportionnée aux femmes par rapport aux hommes, le taux élevé de perte d’emploi, qui a été ressenti dans une plus grande mesure par les femmes que par les hommes, et le taux croissant d’épuisement professionnel parmi les travailleuses et les travailleurs de la santé, dont la majorité sont des femmes. Voici quelques statistiques notables sur les répercussions de la pandémie de COVID-19 sur les femmes : au Canada, parmi les parents qui ont aidé leurs enfants dans leurs travaux scolaires pendant la pandémie, 64 % étaient des femmes; les pertes d’emploi dans le monde pendant la pandémie (en 2020, par rapport à 2019) s’élevaient à 5 % pour les femmes comparativement à 3,9 % pour les hommes, et le taux d’épuisement professionnel grave chez les travailleuses et les travailleurs de la santé s’est accru au Canada, passant entre 30 et 40 % au printemps 2020 à 60 % au printemps 2021.

Lisez la Note de la Colline : Les questions de genre et la pandémie de COVID-19 (2022)

 

Survol du processus de traitement des demandes d’asile au Canada

Comme il est énoncé dans la présente étude, le processus d’octroi de l’asile au Canada s’amorce avec la vérification de la recevabilité de la demande, y compris de l’admissibilité du demandeur. La demande d’asile qui est jugée recevable est déférée aux fins d’une audience. Certaines décisions peuvent également faire l’objet d’un contrôle judiciaire, comme il est décrit dans l’étude. Si la demande d’asile est accueillie, le demandeur peut présenter une demande de résidence permanente. Si la demande d’asile est rejetée, le demandeur peut faire l’objet d’une mesure de renvoi et interjeter appel de cette mesure de renvoi devant la Section d’appel de l’immigration, demander un examen des risques avant renvoi ou demander la résidence permanente pour des motifs d’ordre humanitaire.

Lisez ‘Étude générale : La protection des réfugiés au Canada (2020)

%d blogueurs aiment cette page :