Visualisations : Économie et finances

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Éléments visuels par type:

Infographies

Offre et demande de logements

Cette figure illustre l’incidence des propositions qui font augmenter l’offre et la demande de logements en comparant les points d’équilibre des prix et des quantités avant et après la mise en œuvre des propositions. La représentation graphique de l’offre de logements est une courbe ascendante où l’axe vertical est le prix et l’axe horizontal la quantité, ce qui illustre la corrélation positive entre le prix et la quantité offerte. La représentation graphique de la demande de logements est une courbe descendante qui illustre la corrélation négative entre le prix et la quantité demandée. Le point d’équilibre entre le prix et la quantité correspond à l’intersection entre les courbes de l’offre et de la demande, c.-à-d. le prix et la quantité auxquels la quantité offerte et la quantité demandée sont à égalité. La figure montre qu’une variation vers la droite de l’offre réduit le prix d’une maison de 50 000 $, passant donc de 500 000 $ à 450 000 $, et qu’il augmente la quantité de maisons de 1 000, soit de 10 000 à 11 000 maisons. Une variation vers la droite de la demande augmente le prix d’une maison de 50 000 $, passant donc de 500 000 $ à 550 000 $, et il augmente la quantité de maisons de 1 000, soit de 10 000 à 11 000 maisons. La figure présente aussi les principaux facteurs de l’offre et de la demande de logements entre l’illustration d’un acheteur éventuel et d’une maison. Ces facteurs sont les coûts des terrains et de la construction, des contraintes géographiques comme les océans et les montagnes, et les restrictions municipales relatives à l’aménagement du territoire. Pour ce qui est de la demande, les principaux facteurs sont la capacité d’emprunt des acheteurs, le revenu des acheteurs, l’emploi, la croissance de la population et les mesures fiscales qui améliorent le rendement après impôt de la propriété comparativement à d’autres investissements.

Lisez la Note de la Colline : Le logement abordable sous l’angle de l’offre et de la demande (2022)

 

Types de registres numériques

Il existe trois types de registres numériques : le registre centralisé, le registre distribué public et le registre distribué privé. Un registre centralisé est utilisé par les utilisateurs autorisés par l’entremise d’une partie centrale de confiance, qui peut apporter les changements nécessaires au registre. Les utilisateurs ne peuvent pas interagir directement les uns avec les autres. Les comptes chèques d’une banque et le registre de titres fonciers du gouvernement sont des exemples de registres centralisés. Les registres distribués publics ou privés ne sont pas dotés d’une partie centrale de confiance; chaque utilisateur dispose d’une copie de la totalité du registre en temps réel. Les utilisateurs peuvent interagir directement les uns avec les autres. Un registre distribué public est ouvert au public et tous les utilisateurs peuvent effectuer des changements dans le registre. Bitcoin et Ethereum sont des exemples de registres distribués publics. Un registre distribué privé est restreint aux utilisateurs autorisés, et seulement certains utilisateurs sont autorisés à y apporter des changements. Un organisme gouvernemental pourrait se servir d’un registre distribué privé pour remplacer un registre centralisé.

Lisez la Note de la Colline : Au-delà des monnaies numériques : la chaîne de blocs dans le secteur public (2019)

 

Systèmes actuels et possibles de tarification du carbone au Canada

Le système fédéral actuel de tarification du carbone du Canada comporte deux éléments. Le premier est une redevance sur les combustibles qui est payée par les consommateurs au moment où le combustible est utilisé. Le second est un système de tarification fondé sur le rendement pour les émetteurs industriels. Les émissions des installations sont mesurées par rapport à un seuil établi. Les installations paient pour les émissions qui dépassent le seuil et gagnent des crédits lorsque les émissions sont inférieures à ce seuil. Il est possible que le Canada adopte un système supplémentaire, appelé ajustements à la frontière pour le carbone (AFC). Un AFC est une redevance qui serait imposée sur les biens importées de pays qui ont des politiques moins strictes que le Canada en matière de changements climatiques. Un AFC permet de fixer un prix uniforme pour les émissions, quel que soit le lieu de fabrication des biens.

Lisez la Note de la Colline : Ajustements à la frontière pour le carbone (2021)

 

Processus d’approbation des nouvelles initiatives du gouvernement

L’infographie présente le processus d’approbation des nouvelles initiatives du gouvernement selon les dix étapes suivantes. Étape 1 : Le gouvernement propose une initiative. Étape 2 : Les organismes centraux aident le ministère responsable de l’initiative à préparer un mémoire au Cabinet. Étape 3 : Un comité d’orientation du Cabinet examine le mémoire au Cabinet et émet une recommandation. Étape 4 : Le ministère prépare une présentation au Conseil du Trésor. Étape 5 : Le Conseil du Trésor examine la présentation et prend une décision. Étape 6 : Une demande de financement pour la nouvelle initiative est incluse dans le budget des dépenses suivant. Étape 7 : Le président du Conseil du Trésor dépose le budget des dépenses à la Chambre des communes et présente un projet de loi de crédits correspondant. Étape 8 : Le Parlement étudie et adopte le projet de loi de crédits. Étape 9 : Le ministère peut commencer à dépenser les fonds publics. Étape 10 : Les dépenses réelles du ministère sont divulguées dans les Comptes publics du Canada.

Lisez l’Étude de la Colline : Financement de nouvelles initiatives du gouvernement : de l’annonce à l’affectation de fonds (2021)

 

Le cycle financier parlementaire

Représentation chronologique du calendrier du cycle financier parlementaire. De bas en haut, la figure divise le cycle financier parlementaire en trois sections : avant l’exercice, pendant l’exercice (du 1er avril au 31 mars) et après l’exercice. La première section, avant l’exercice, comprend les jalons suivants : Septembre – Consultations prébudgétaires du Comité des finances Décembre – Rapport du Comité des finances Entre février et avril – Budget Mars – Budget principal des dépenses, plans ministériels, crédits provisoires La deuxième section, pendant l’exercice (du 1er avril au 31 mars), comprend les jalons suivants : Mai – Budget supplémentaire des dépenses (A) Juin – Approbation de la totalité des crédits/Fin de la période des subsides Octobre – Mise à jour économique et financière Novembre – Budget supplémentaire des dépenses (B) Décembre – Fin de la période des subsides Février – Budget supplémentaire des dépenses (C) Mars – Fin de la période des subsides La troisième section, après l’exercice, comprend les jalons suivants : Octobre – Comptes publics du Canada Novembre – Rapports sur les résultats ministériels

Lisez l’Étude de la Colline : Le cycle financier parlementaire (2021)

 

Graphiques et tableaux

Quote-part des dix principaux pays contributeurs au budget ordinare de l’ONU, 2020

Ce tableau présente les dix principaux contributeurs au budget ordinaire de 2020 de l’ONU ainsi que leurs contributions établies, en pourcentage du budget total. Ces pays sont, en ordre décroissant de contribution : les États Unis (22,0 %), la Chine (12,0 %), le Japon (8,6 %), l’Allemagne (6,1 %), le Royaume-Uni (4,6 %), la France (4,4 %), l’Italie (3,3 %), le Brésil (2,9 %), le Canada (2,7 %), la Russie (2,4 %), suivis du reste des membres (31,0 %). On indique dans le bas du tableau que les contributions brutes estimatives totales au budget ordinaire de l’ONU en 2020 sont de 3,1 milliards de dollars américains.

Lisez la Note de la Colline : Les Nations Unies, 75 ans plus tard : « imparfaites, mais indispensables »? (2020)

 

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